L'audition du général Burkhard, chef d'état-major des armées, de ce jour était à huis clos. Je le regrette. Voici les questions que j'ai posées au CEMA.
Voici les questions que j'ai posées au CEMA. Le CEMA m'a ainsi répondu.
1. Il n'a pas à se prononcer sur les actions de l'armée israélienne. En revanche, il m'a confirmé qu'un bombardement français qui ferait 150 morts civils serait inacceptable.
2. Il a confirmé qu'il pouvait y avoir des "déploiements opérationnels" en Guinée. Je désapprouve totalement la banalisation du régime de M. Doumbouya décidée par le gouvernement.
3. Il m'a affirmé que la France n'avait pas d'intérêt dans les affrontements au Mali et qu'entre les différentes forces en présence, il serait bien en peine de désigner un camp ami.
